Il y a trois ans tout rond, j’ai créé un compte Instagram, guidée par une idée qui m’était venue dans l’eau chlorée : “Tu vas nager dans toutes les piscines municipales parisiennes, et tu vas raconter cette expérience.” Je m’étais donné un an pour les découvrir toutes.
Visiter toutes les piscines parisiennes est également un objectif auquel j’ai pensé - comme les musées et les expos temporaires me font retourner dans une liste courte. Cet article me rappelle l’envie ; je passe à vélo devant Rouvet souvent et je ne me suis pas encore arrêtée… J’ai un joli souvenir de Barcelone piscine olympique. Merci pour cet article et votre écriture 🙏🏿🏊🏻♀️
Merci pour cette quête, plus Perceval -curieux et ouvert- que Galaad- inflexible et tendu vers son but-. J’ai tellement aimé suivre ces trois années. Keller a été ma première piscine parisienne, une piscine de khâgneuse dure à la tâche et à la tête un peu dure. Vallerey fut la dernière, une piscine douce, même avant sa rénovation, qui m’a rappelé les joies de nager pour soi. Que ces piscines ouvrent et closent ce post est un joli clin d’œil.
C’est fou que tu sois passée, dans cet ordre, par ces deux piscines !! Keller me semble tellement compatible avec un quotidien de khâgneuse dure à la tâche, comme tu l’écris !! Ça m’aide même à mieux la saisir, de lire ça !!
Hommage collatéral...et à cause du bonnet...un peu tiré par les cheveux...
Hebert....Sans être Dauvin...en voilà une bien belle saga qui saura nous ravir ! Qui a enBlomet nos soirées !
Dorénavant...sans broyer Dunois, sans hésitation et sans Hermant, comme Napa, qui n’ayant rien Nakache, Lafay
Si vous tu es Rentiers en sortant du Château, du Landon, ou de La Plaine...
Ou simple Jean...ou Boiteux, comme Henry et Armand, qui bien après avoir vu leur Massard kinésithérapeute, Montherlant, les escaliers menant aux bassins...
Au Calka ou dans la Cour des Lions, tu iras Baker...
Et sans que l’eau du pédiluve se Taris, te Rouvet Auteuil de la porte du bassin Champerret, et sans qu’un quelconque Pont te toise, ni cherche quelques Pailleron dans l’œil de son voisin de ligne...
Ayant mis l’Anthoine à sa place tout de Go sans son dard, sans que se Marvingt nageurs...
Sans t’enberliouxficoter, un superbe virage culButte aux Cailles tu feras...
Et tous, comme des Amiraux, Aspirants Du Nand un peu de chlore, des calories nous aurons Brulé pour Thérèse et Jeanne... ça Vallerey le coup,
Auriolé de notre succès, Keller fier nous aurons !
Et sans que nous Mourlon de plaisir, nous dirons : Didot doudou c’est bon ! C’est un Rigal
Perso, je n’irai pas à Drigny, et mécréant que je suis, pas plus à Saint-Germain, dont les bassins parfaits ne Mathis pas.
Quant à Lagatu ...comme disait Boby elle m’a quitté !
Et puis, surtout, je préfère la mer car rien ne Le Gall
Visiter toutes les piscines parisiennes est également un objectif auquel j’ai pensé - comme les musées et les expos temporaires me font retourner dans une liste courte. Cet article me rappelle l’envie ; je passe à vélo devant Rouvet souvent et je ne me suis pas encore arrêtée… J’ai un joli souvenir de Barcelone piscine olympique. Merci pour cet article et votre écriture 🙏🏿🏊🏻♀️
Merci pour cette quête, plus Perceval -curieux et ouvert- que Galaad- inflexible et tendu vers son but-. J’ai tellement aimé suivre ces trois années. Keller a été ma première piscine parisienne, une piscine de khâgneuse dure à la tâche et à la tête un peu dure. Vallerey fut la dernière, une piscine douce, même avant sa rénovation, qui m’a rappelé les joies de nager pour soi. Que ces piscines ouvrent et closent ce post est un joli clin d’œil.
C’est fou que tu sois passée, dans cet ordre, par ces deux piscines !! Keller me semble tellement compatible avec un quotidien de khâgneuse dure à la tâche, comme tu l’écris !! Ça m’aide même à mieux la saisir, de lire ça !!
Quelle merveilleuse newsletter 😊
J’en ai fait beaucoup également. Dunois, Rentiers, Blomet, Pontoise, Butte aux Cailles, Pailleron, Laffay (tu ne l’as pas citée), Vallerey etc.
Des ambiances très différentes mais à chacune d’entre elles un imaginaire qui emporte en plus du bonheur d’être dans l’eau.
Le bon souvenir, c’est la Butte aux Cailles pour l’air frais qui parcourt le corps lorsqu’on sort de l’eau.
Hommage collatéral...et à cause du bonnet...un peu tiré par les cheveux...
Hebert....Sans être Dauvin...en voilà une bien belle saga qui saura nous ravir ! Qui a enBlomet nos soirées !
Dorénavant...sans broyer Dunois, sans hésitation et sans Hermant, comme Napa, qui n’ayant rien Nakache, Lafay
Si vous tu es Rentiers en sortant du Château, du Landon, ou de La Plaine...
Ou simple Jean...ou Boiteux, comme Henry et Armand, qui bien après avoir vu leur Massard kinésithérapeute, Montherlant, les escaliers menant aux bassins...
Au Calka ou dans la Cour des Lions, tu iras Baker...
Et sans que l’eau du pédiluve se Taris, te Rouvet Auteuil de la porte du bassin Champerret, et sans qu’un quelconque Pont te toise, ni cherche quelques Pailleron dans l’œil de son voisin de ligne...
Ayant mis l’Anthoine à sa place tout de Go sans son dard, sans que se Marvingt nageurs...
Sans t’enberliouxficoter, un superbe virage culButte aux Cailles tu feras...
Et tous, comme des Amiraux, Aspirants Du Nand un peu de chlore, des calories nous aurons Brulé pour Thérèse et Jeanne... ça Vallerey le coup,
Auriolé de notre succès, Keller fier nous aurons !
Et sans que nous Mourlon de plaisir, nous dirons : Didot doudou c’est bon ! C’est un Rigal
Perso, je n’irai pas à Drigny, et mécréant que je suis, pas plus à Saint-Germain, dont les bassins parfaits ne Mathis pas.
Quant à Lagatu ...comme disait Boby elle m’a quitté !
Et puis, surtout, je préfère la mer car rien ne Le Gall
complètement fan ! bravo , cette lettre donne envie de toutes les découvrir et ça prouve que le souffle de nageuse est communicatif, merci , Amal